Lycée François Truffaut
Rue Georges Pompidou - 91070 Bondoufle
Accueil > Formation > Option Théâtre > Spectacles de l’option
Publié le 10 octobre 2012 par le Webmaster
« Il faut d’urgence une révolution en France...
Il faut une révolution française... »
Publié le 10 octobre 2012 par le Webmaster
D’après la pièce Antigone de Sophocle dans la traduction de Florence Dupont (Editions de L’Arche) et le roman Antigone d’Henri Bauchau.
Publié le 27 mai 2013 par le Webmaster
Hart Crane...
Emily Dickinson...
… deux figures de la poésie américaine dont les vies s’opposent.
Publié le 30 juin 2014 par le Webmaster
Résumé de la pièce
C’est l’anniversaire de P’tite Piette. Elle voulait des rollerblades, mais ses parents n’ont rien compris. Le Papa de P’tite Piette et son oncle ont bu quelques bières. Belle Maman a apporté un kit de la bonne ménagère. Tous (...)
Publié le 18 juin 2015 par le Webmaster
Dans une salle d’audience.
Durant les trois minutes qui précèdent l’ouverture du procès.
Quand tous les protagonistes intimes de l’affaire sont là - sauf la Cour.
Quand, seuls, les silences et les regards parlent...
Publié le 7 juillet 2016 par le Webmaster
« Comme vous voyez, je place en vous de grands, d’immenses espoirs. Tant que vous ne me tendez pas le hot dog, tout est permis, tout est encore possible. » Levin
Publié le 15 juin 2017 par le Webmaster
« C’est bien dommage que les fous, dans leur sagesse, ne puissent rien dire des folies que font les sages »
Publié le 5 juin 2018 par le Webmaster
Dans « Fées » le propos interroge le monde dans lequel une génération s’engouffre tout en le dénonçant. Un monde en réseaux où il semble de plus en plus difficile d’agir sur les événements, sur le cours de l’histoire même.
Publié le 11 juin 2020 par le Webmaster
Tandis que la maison s’écroule, n’est que failles, fuites et décombres, les valets gravitent autour du Maître dans un ballet incessant, répondant à ses désirs, ses foucades, en but à ses réprimandes et ses sanctions. Bringuebalés entre servitude, obligation et dévouement au maître, ils sont continuellement sur le qui-vive et dans l’urgence.
Les valets s’affairent dans le vaste vestibule de la maison, entre le réel et l’irréel, la fête et le cauchemar, manifestant ainsi leur désir de se sentir en vie en cette maison décrépie, bientôt morte.